Les mille et une choses du monde ne sont que des illusions ; voir à travers les troubles de ce monde, mais ne pas pouvoir laisser aller la tendresse au fond du cœur. Les fils de l'amour s'enroulent comme des vignes, plus on essaie de se libérer, plus on s'entremêle. Se prosterner devant le Bouddha mille fois, il est toujours difficile de rompre l'obsession d'un seul regard en arrière. En réalité, ce que l'on comprend, ce sont les apparences du monde, mais ce que l'on ne peut pas comprendre, c'est le cœur humain. Si l'on pouvait vraiment se libérer, pourquoi donc ces soupirs de rêves revenant à
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